Une prairie on ne peut plus verte
Quelques vaches avec clochettes
Bienvenue chez les helvètes
Une ville calme et si paisible
Que c'en est incompréhensible
En ces temps durs et pénibles
Les lacs des cygnes vous font penser
A votre enfance , écrits censés
Émerveillé, vous paressez
Les gens vous saluent disent adieu
Reprennent leur chemin tout radieux
Vous laissant sans voix et soucieux
D'autres vous croisent et disent bonjour
Et n'attendant rien en retour,
Vous les aimez au fil des jours
Le temps s'écoule si ordonné
Que vous en êtes tout étonné
De cet état pelotonné.
Les saisons varient en couleurs
Le climat entrant en matière
Pour mettre la nature en valeur.
Belle Suisse, toute en sueur
Tu fais chavirer tant de cœurs
Qu'on ne peut vouloir que ton bonheur.